Ma belle-mère cette salope
Coulybaca / Just Plain Bob
Droits d’auteur 2007 Just Plain Bob
Au coté des nombreuses choses bien que j’ai fait dans ma vie, il en existe aussi quelques unes de mauvaises.
Je ne sais pas pourquoi, mais cela semble être une part, de mon karma de toujours garder un équilibre entre le bien et le mal.
C’est le cas de la façon dont j’ai agi envers Jimmy Olsen et ma belle-mère.
Jimmy était un de mes meilleurs étudiants de plus il était un quaterback renommé, il faisait l’honneur de notre société académique et était très populaire dans notre fac.
Son apparence rude ce qui séduisait toutes les filles, elles auraient tou-tes aimé sortir avec lui, et il était assez gentil, selon mes appréciations pour accorder à chacune leur chance.
La dernière chose dont Jimmy avait besoin était de se laisser embobiner par une d’elle.
J’ai déjà vu trop de gars promis à un brillant avenir tomber dans l’ano-nymat après s’être amouraché d’une bimbo aux gros seins.
Nous avions quelques problèmes de drogue dans notre université et un jour je tombais de haut lors d’une inspection inopinée.
En théorie les professeurs devaient être en place surveillant les armoires et empêchant les étudiants d’ouivrir la leur, mais l’assistant principal m’interpella alors que je me rendais dans les étages et me remit une liste d’élèves suspectés de détenir de la drogue et de me montrer extrême-ment vigilante avec eux quand on fouillerait leurs armoires.
De ce fait j’arrivais un peu en retard à mon poste de surveillance au troi-sième étage.
Je gagnais le haut de la colonne juste à temps pour voir Jimmy prendre quelque chose dans son armoire pour le ranger dans sa poche.
Il se retournait pour quitter les lieux lorsque je lui intimais de venir me rejoindre.
Je le vis blêmir lorsqu’il se tourna vers moi, il était désespéré.
Je m’approchais de lui.
– Qu’as-tu caché dans ta poche Jimmy?
Il me répondit :
– Rien… Je rangeais seulement quelques livres dans mon armoire!
– Ne me mens pas Jimmy! Je t’ai vu prendre quelque chose dans ton armoire et le cacher dans ta poche… Donne moi ce que tu as caché dans ta poche!
Il hésita un instant, mais il me tendit un flacon en verre remplit de liquide translucide.
Dès que je vis le contenu du flacon je compris qu’il s’agissait de GHB, la drogue du viol.
Le fait qu’il ne s’agissait pas de merde style cocaïne ou héroïne n’aurait pas empêché le conseil de discipline de la fac de le sanctionner dure-ment.
Jimmy serait pour le moins suspendu et il serait amené à rembourser les bourses de l’année entière, aussi rangeais-je le flacon dans ma poche l’avisant :
– File et garde ta bouche cousue!
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Je ne saurai jamais pourquoi je ne vidais pas ce flacon dans l’évier.
J’allais et venais avec le flacon dans ma poche jusqu’à la fin de la jour-née, puis je le fourrais dans mon porte-documents.
Il est resté rangé dans mon porte-documents pendant une bonne se-maine avant que je ne le range dans le tiroir central de mon bureau à la maison.
Il y resta trois bons mois avant que je ne comprenne soudain pourquoi je l’avais gardé.
J’avais fait le bon choix en couvrant Jimmy et maintenant je devais trou-ver une mauvaise action pour la contrebalancer.
Je pensais à quelque chose de précis, mais il en avait toujours été ainsi dans ma vie.
Ma belle-mère me déteste.
Ce n’est pas pure paranoïa de ma part, elle a véritablement une intense aversion envers moi. Elle avait fait tout ce qui était en son pouvoir pour m’empêcher Ümraniye travesti d’épouser Debbie, sa fille.
Elle avait été jusqu’à lui mentir prétendant qu’elle m’avait vu entrer dans un motel avec une prostituée.
Par chance, ce jour là (et les deux jours avant et après cette date) j’étais à 900 km de là participant à un séminaire et j’avais suffisamment de re-çus pour le prouver.
J’aime bien mon beau-père, mais je vous laisse deviner l’ambiance lors-que je me trouvais dans une pièce en compagnie de la mère de Debbie.
Elle accumulait les remarques aussi sournoises que fausses lorsque je me trouvais là et critiquais tous mes faits et gestes.
Je faisais de mon mieux pour lui sourire en retour, me contentant de res-ter à coté de son mari alors que je n’avais qu’une envie : étrangler cette salope de mes propres mains!
Ces sept dernières années j’avais p^ris l’habitude de jouer au poker cha-que jeudi soir avec un groupe d’amis que j’avais connus au lycée.
Le jeu se tenait chez l’un ou l’autre, en rotation, et ce jeudi c’était à moi de les recevoir.
Je rentrais de la fac ce soir là pour constater la présence inopportune de ma belle-mère. Debbie me confia la mauvaise nouvelle.
– Papa a du partir pour deux jours à Denver et tu sais combien elle déteste rester seule chez elle!
– Je lui ai dit qu’elle pouvait venir chez nous… Cela ne te gêne pas outre-mesure, n’est ce pas?
– Que pouvais-je lui répondre? Fous-moi cette salope dehors!
– En fait je rétorquais suavement :
– Non ma chérie, c’est tout à fait bien, mais n’oublie pas, c’est mon jour d’héberger notre partie de poker… Et tu sais très bien comment elle se comporte en ma présence! Tâche de la tenir hors de notre vue et de nos jambes afin de ne pas exposer mes potes à sa langue de vipère!
Naturellement Debbie était incapable de conserver sa mère hors de no-tre vue et la présence de six copains ne l’empêchait de seriner ses commentaires caustiques.
Cela faisait une paire de jours que Debbie ne se sentait pas très bien, elle alla donc se coucher assez tôt.
Nous étions à mi-partie lorsque Bill intervint :
– Par le diable quel est son problème?
Je lui répondis que tout simplement elle ne m’aimait pas.
Jack intervint alors :
– Cette salope a surtout besoin de se faire baiser et bien baiser, un bon coup de bite dans le cul et elle se montrera plus aimable!
– Je n’aimerai pas la baiser! M’exclamais-je l’air dégoûté.
– Ne te tracasse pas pour ça! Elle a encore un beau cul pour son âge et son corps parait bien ferme!
C’est alors qu’Hal ajouta qu’elle lui semblait assez sexy pour une femme de son âge et Mike poursuivit :
– Je m’la ferai bien!
Chuck explosa de rire et ajouta :
– Penses-tu qu’on pourrait la partouser?
Ces mots étaient à peine sortis de la bouche de Chuck que je savais déjà ce que j’allais faire.
Je souris à me potes et leur annonça :
– Je crois que j’ai ce qu’il faut pour l’amener à se faire partouser!
Cela faisait des années que ma belle-mère m’emmerdait sans que je puisse lui retourner ses avanies.
Je dis aux copains que je passais le tour suivant, puis je me rendais dans mon bureau et empoignai le flacon de GHB rangé dans le tiroir central de mon bureau, puis je revins à la table de jeux.
– Si vous voulez la partouser je peux arranger ça… Mais je veux qu’on enregistre toute la séance… D’accord?
Ils se regardèrent les uns et les autres et finirent par approuver.
– Cela peut prendre une petite demi-heure, mais je vous promets qu’on la partousera bientôt…
Assise Ümraniye travestileri dans le salon Béa regardait la télé tout en sirotant une bière, tout en jouant, je gardais un oeil sur elle.
Lorsqu’elle se leva pour se rendre aux toilettes je me levais et me préci-pitais au salon.
Je versais quelques gouttes du flacon de Jimmy dans son verre. Si cela ne suffisait pas, je lui verserai une dose plus forte la prochaine fois qu’elle quitterait le salon.
Je supposais que quelques gouttes devraient suffire, je me reprochais de ne pas m’en être informé auprès de Jimmy, mais il était trop tard maintenant.
Je jouais la main suivante lorsqu’elle revint, elle but une large rasade de bière en s’asseyant.
Une quinzaine de minutes plus tard, je vis sa tête tomber sur son épaule, mais j’attendis cinq minutes de plus avant de me lever pour m’approcher d’elle.
Les yeux grands ouverts et vides, elle me regardait m’approcher d’elle.
Je glissais ma main dans le décolleté de son corsage et lui pinçais un mamelon, elle gloussa mais ne fit aucun mouvement pour me repousser.
Je dégrafais mon pantalon et sortis ma bite que j’enfournais dans sa bouche, je sentis immédiatement sa langue s’enrouler autour de ma hampe elle me regardait droit dans les yeux tandis que je la baisais en bouche.
J’étais sur le point de jouir, j’empoignais sa tête à deux mains alors que je projetais de lourdes giclées de foutre dans sa gorge.
Je lui maintins la tête le temps que je me vide les couilles, puis j’entrepris de la désaper.
Je revenais à la table de jeux et informais mes potes que j’avais trafiqué son verre de bière, et qu’elle était prête à les accueillir.
J’ajoutais qu’elle pouvait se montrer passive au début, pendant la pre-mière demi-heure, mais qu’ensuite elle devrait participer volontairement et de son mieux.
Je ne savais absolument pas si c’était vrai ou non, mais je voulais en-courager mes potes à se la taper.
Je fus heureusement surpris en constatant qu’au bout d’un quart d’heure Bea commença à répondre à leurs assauts.
Au début elle se contenta de presser son corps contre celui de ses “amants” puis elle leva les jambes et les boucla autour du torse de Mike.
Lorsque ce fut au tour de Hal elle verrouilla ses cuisses sur son torse et agrippa ses fesses à deux mains.
Lorsque Bill la sauta pour la seconde fois, elle le supplia de la baiser avec plus d’énergie.
Chaque gars la sauta deux fois de suite avant que je me sentis en verve de créativité.
Je filais Bill enfournant sa bite dans sa bouche tandis que Hal la baisait par derrière, puis elle se mit à genoux et Mike la baisa par derrière alors que Chuck et Jack tentaient de lui fourrer la bouche à deux en même temps.
Tandis que je regardais l’action au travers du viseur de ma caméra, je repensais à ce que Jack avait dit au départ de l’action :
– Elle a surtout besoin d’un bon coup de bite dans le cul!
Plus j’y pensais plus cette idée me semblait délectable.
Je posais la caméra au sol et me déshabillais prestement, lorsque Mike eut fini de la sauter, je me plaçais dans le dos de Béa et plongeais ma bite dans sa foufoune engorgée de cyprine et de foutre histoire de lubri-fier ma mentule. Je fus surpris de m’y sentir aussi bien. Pendant quel-ques instants je me demandais si je n’allais pas continuer la baisant en chatte, puis je me remémorais mon intention initiale, je voulais juste lubrifier ma bite en la plongeant dans sa chagatte.
Je sortis alors de sa cramouille enfiévrée et la pointa sur son trou du cul.
Je dis à Jack de se retirer de sa bouche Travesti ümraniye et je me mis à pousser. La tête de Béa se redressa vivement et elle poussa un cri aigu, Jack lui empoi-gna alors la tête et la bâillonna avec sa queue pour la faire taire.
Béa gémissait et couinait cherchant à s’éloigner de moi, mais je la tenais fermement aux hanches et je l’enculais aussi énergiquement que possible.
Cela me prit cinq bonnes minutes pour gicler dans son fondement, et tout le temps que je lui cassais le cul elle chercha à me repousser.
La partouse dura encore une bonne heure et demi, lorsqu’elle se termina, l’effet de la drogue s’était dissipé, cependant Béa continuait à supplier qu’on la baise.
Finalement les gars n’en purent plus et ils me quittèrent laissant Béa étendue sur le sol du salon murmurant :
– Baisez-moi, je vous en prie… Encore… Je veux une bonne bite… N’importe qui!
Je me postais devant elle et l’interrogeais brutalement.
– N’importe qui? Même ton détestable beau-fils?
– Oui, oh oui… Je vous en prie baisez-moi mon chéri… foutez-moi!
– Sur? Tu le veux vraiment? Tu veux vraiment que ton salaud de beau-fils te baise à couilles rabattues?
Elle se releva sur les genoux et me tendit la main.
Je reculais d’un pas, ris d’elle et allais me coucher.
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Le lendemain matin, alors que nous prenions notre petit déjeuner Béa fuyait mon regard.
Elle affichait toujours le même dédain à mon égard et je pensais en mon fort intérieur tu me détestes encore plus vieille pute, mais attend un peu de voir ce que je te réserve la prochaine fois que nous serons seuls.
Ce moment vint plus vite que prévu, lorsque je rentrais de la fac le soir même, Debbie était partie faire des courses et Béa se trouvait dans le salon, elle regardait la télé.
Je m’approchais et introduisis la casette que j’avais enregistré dans le lecteur vidéo.
Béa commerça par pester contre moi parce que j’interrompais son pro-gramme, mais elle se tut dès que les photos apparurent sur l’écran.
On l’y voyait se faire baiser par Mike alors que sa tête allait et venait sur le bas ventre de Hal.
Depuis que je te connais, je ne t’ai jamais donné de raison de me haïr à ce point.
Pendant toutes ces années je me suis accommodé de ton attitude pourrie à mon égard pour amour de Debbie, j’avais compris que je devais me taire pour ne pas créer de problèmes dans mon couple.
Voilà ce que je te propose, je peux envoyer une copie de cette bande à tous tes proches et tes connaissances, à moins que tu ne m’obéisses docilement.
Tu devras faire ce que je voudrai quand je te le dirai, tu dois toujours te tenir prête à relever ta jupe, baisser ta culotte, te pencher en avant et m’offrir ton cul.
Que ce soit lors d’un mariage, d’un enterrement, d’un baptême où dans ton supermarché.
Quand je dis « fais-le» tu relèveras ta jupe et me donneras libre accès à tes orifices! Comprends-tu ce que je te dis?
– Vous n’oseriez pas!
– Oh que si ma chère Béa, tu auras beau me supplier, et maintenant prépare-toi!
Elle me regarda fixement et je compris qu’elle voulait me dire quelque chose, me traiter d’enculé, m’intimer de foutre le camp…. Mais elle s’appuya sur les accoudoirs de son siège, leva ses hanches et enleva sa petite culotte. Puis elle écarta les cuisses et attendit.
– A genoux Béa… Je vais t’enculer…
Elle leva les yeux sur moi et je vis une amorce de sourire fleurir sur ses lèvres, puis elle se tourna et se mit à genoux.
Alors que je pénétrais franchement son anus elle poussa un grognement sourd et me demanda :
– Comptes-tu m’offrir à nouveau à tes copains?
– Vieille salope, t’as aimé ça n’est ce pas?
– Nous en reparlerons plus tard, mais pour l’instant, je t’en prie baise-moi encore… Plus fort!
Le 14 mai 2008
Coulybaca
Auteur Just Plain Bob (Literotica)
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